Contrairement aux idées reçues, l’épidémie de Covid-19 n’a eu aucun impact sur les prix de l’immobilier neuf. La tendance reste à la hausse sur l’ensemble du territoire et spécifiquement dans les grandes métropoles.
Face à la pénurie de logements neufs disponibles avant le confinement ainsi qu’au ralentissement des chantiers causé, les prix de l’immobilier neuf ne devraient pas diminuer, à plus forte raison dans les grandes villes. En avril, le prix moyen du mètre carré dans le neuf se montait, tous logements confondus, à 4 236 €. * Pour les appartements, le prix était de 4 866 € le mètre carré, soit une évolution de 3.5 % des prix depuis 2019. En Haute-Savoie, cette augmentation est de 1.9 %.
Malgré les retards de livraison, le marché du neuf ne semble pas profondément impacté par la crise sanitaire. L’évolution des prix s’explique par un manque d’offre face à une demande croissante, surtout dans des régions comme le Chablais.
En comparaison à l’immobilier ancien, l neuf offre des garanties indéniables : logement personnalisé, fonctionnel et optimisé, respect des normes environnementales,.. tous ces avantages sont importants pour un investissement sur le long terme.
Si la crise a impacté l’offre, elle a également bouleversé la demande durablement. En effet, après plusieurs semaines à domicile, les Français ont pris conscience de la notion d’”habitat”. Volumes modulables, agriculture urbaine, équipements spécifiques, espaces communs multifonctions,... L’immobilier neuf sait répondre à ces besoins émergents.
* Selon le baromètre LPI-SeLoger